On peut vivre sans électricité et gaz et de l’eau courante et toilette à la chasse. On peut tenir chaud avec vêtements ou du feu, on peut utiliser du bois ou du composte séché pour le feu, on peut se coucher après le coucher du soleil ou regarder ensemble le feu ou les étoiles ou on peut lire avec bougies ou lampes de pétrol: et un seul peut lire à haute voix tandis que les autres écoutent.
On peut vivre sans se faire dépendre des grosses companies privées, communales, départementales ou étatiques - à qui de l’empêcher?
On peut vivre sans Coca-Cola, sans Levi’s jeans, sans Mars, Snickers et Bounty, sans Mc-Do et KDF: on peut boire du vin (alternant avec de l’eau), du cidre ou de la bierre, on peut coudre et les femmes peuvent porter des jupes. On peut faire sa chocolatérie, ou aller au chocolatier, on peut cuisiner ses hamburgers et ses poulets avec ses frites - ou d’autres mets.
On peut donc vivre sans se faire le client des entreprises ou franchising-companies internationales: à qui de l’empêcher?
On peut vivre sans CD-player et sans CDs de Virgin, sans radio et sans télé, car à part les nouvelles qui sont rédigées par on ne sait qui, selon directives qu’on devine, et dont on n’a pour la plupart pas besoin, ni grande joie, ni grande compassion, il s’agit des jeux, des charades, des théatres, de la musique qu’on peut faire à la maison ou regarder ou écouter dans la rue, payant ou pas selon le goût une pièce ou un billet.
On peut donc vivre sans se laisser déformer ses goûts et la perception des actualités dans leur vraies proportions entre bien, mal et banal - à qui de l’empêcher?
Pourtant: apparemment la vie simple et autosuffisante est de fait empêchée, surtout pour les familles.
L’autosuffisance, est elle pauvre? Non, elle est une richesse. Qui a ce qu’il veut n’est pas pauvre. Qui a les talents et le savoir-faire pour le procurer, aura le plus souvent ce qu’il veut - sauf si quelqu’un l’empêche.
L’autosuffisance, est elle un esclavage? Non, elle est laborieuse mais libre des dépendances. Là ou elle existe.
L’autosuffisance, est elle une isolation? Non, elle soude les familles et maisonnées et les voisinages à travers les sexes, générations et les classes.
L’autosuffisance, est elle un idéal inaccessible? L’autosuffisance totale de chaque homme l’est: l’autosuffisance d’une famille ou d’un village, comme décrite par moi ne l’est normalement pas.
L’autosuffisance, est elle barbare ou sans coeur? Elle peut l’être, mais elle n’est pas obligée de l’être. Elle peut l’être, car l’homme peut l’être; elle n’est pas obligée de l’être, car l’homme n’est pas obligé de l’être.
L’autosuffisance, est elle ignorante? Elle peut l’être. Elle serait aussi en position de choisir librement entre clergé chrétienne et science moderne pour remplir le vide.
L’autosuffisance, est elle traditionnaliste? Oui, normalement les parents qui suffisent pour décider de l’éducation de leurs progéniture arrivent à transmettre leur propre vision du monde et n’acceptent pas que des autres imposent une langue, une réligion, une moralité aux élève”s qui n’est pas pleinement celle de leurs progéniteurs. Qui veut changer la génération grandissante doit avant tout s’adresser aux adultes et aux adolescents qui partagent déjà la liberté adulte. Pour que des païens autosuffisantes et pas appauvris abandonnent leurs idoles ou cessent de s’adresser aux esprits pour servir un seul Dieu Trin et Un, il faut des miracles d’un apôtre, des saintetés d’un érémite, des arguments d’un fort philosophe - et encore l’intéret de l’écouter - ou des armes d’un croisé. Ou le décret d’un roi sacré qui se laisse baptiser et sans lequel le culte païen collapse. Pas juste le mot d’un homme qui est censé savoir mieux parce qu’il a fait des études et parce qu’on verra ses enfants enlevés si on s’oppose à son enseignement: car cette situation n’est pas l’autosuffisante, cette situation qui en qqs générations est parvenu de déchristianiser la France, ou la Suède. Ou la Hollande.
Hans Lundahl
Nice le 30 Avril 2007,
St Jâques de Zébédée
On peut vivre sans se faire dépendre des grosses companies privées, communales, départementales ou étatiques - à qui de l’empêcher?
On peut vivre sans Coca-Cola, sans Levi’s jeans, sans Mars, Snickers et Bounty, sans Mc-Do et KDF: on peut boire du vin (alternant avec de l’eau), du cidre ou de la bierre, on peut coudre et les femmes peuvent porter des jupes. On peut faire sa chocolatérie, ou aller au chocolatier, on peut cuisiner ses hamburgers et ses poulets avec ses frites - ou d’autres mets.
On peut donc vivre sans se faire le client des entreprises ou franchising-companies internationales: à qui de l’empêcher?
On peut vivre sans CD-player et sans CDs de Virgin, sans radio et sans télé, car à part les nouvelles qui sont rédigées par on ne sait qui, selon directives qu’on devine, et dont on n’a pour la plupart pas besoin, ni grande joie, ni grande compassion, il s’agit des jeux, des charades, des théatres, de la musique qu’on peut faire à la maison ou regarder ou écouter dans la rue, payant ou pas selon le goût une pièce ou un billet.
On peut donc vivre sans se laisser déformer ses goûts et la perception des actualités dans leur vraies proportions entre bien, mal et banal - à qui de l’empêcher?
Pourtant: apparemment la vie simple et autosuffisante est de fait empêchée, surtout pour les familles.
L’autosuffisance, est elle pauvre? Non, elle est une richesse. Qui a ce qu’il veut n’est pas pauvre. Qui a les talents et le savoir-faire pour le procurer, aura le plus souvent ce qu’il veut - sauf si quelqu’un l’empêche.
L’autosuffisance, est elle un esclavage? Non, elle est laborieuse mais libre des dépendances. Là ou elle existe.
L’autosuffisance, est elle une isolation? Non, elle soude les familles et maisonnées et les voisinages à travers les sexes, générations et les classes.
L’autosuffisance, est elle un idéal inaccessible? L’autosuffisance totale de chaque homme l’est: l’autosuffisance d’une famille ou d’un village, comme décrite par moi ne l’est normalement pas.
L’autosuffisance, est elle barbare ou sans coeur? Elle peut l’être, mais elle n’est pas obligée de l’être. Elle peut l’être, car l’homme peut l’être; elle n’est pas obligée de l’être, car l’homme n’est pas obligé de l’être.
L’autosuffisance, est elle ignorante? Elle peut l’être. Elle serait aussi en position de choisir librement entre clergé chrétienne et science moderne pour remplir le vide.
L’autosuffisance, est elle traditionnaliste? Oui, normalement les parents qui suffisent pour décider de l’éducation de leurs progéniture arrivent à transmettre leur propre vision du monde et n’acceptent pas que des autres imposent une langue, une réligion, une moralité aux élève”s qui n’est pas pleinement celle de leurs progéniteurs. Qui veut changer la génération grandissante doit avant tout s’adresser aux adultes et aux adolescents qui partagent déjà la liberté adulte. Pour que des païens autosuffisantes et pas appauvris abandonnent leurs idoles ou cessent de s’adresser aux esprits pour servir un seul Dieu Trin et Un, il faut des miracles d’un apôtre, des saintetés d’un érémite, des arguments d’un fort philosophe - et encore l’intéret de l’écouter - ou des armes d’un croisé. Ou le décret d’un roi sacré qui se laisse baptiser et sans lequel le culte païen collapse. Pas juste le mot d’un homme qui est censé savoir mieux parce qu’il a fait des études et parce qu’on verra ses enfants enlevés si on s’oppose à son enseignement: car cette situation n’est pas l’autosuffisante, cette situation qui en qqs générations est parvenu de déchristianiser la France, ou la Suède. Ou la Hollande.
Hans Lundahl
Nice le 30 Avril 2007,
St Jâques de Zébédée
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