Thursday, October 30, 2008

Risques médicales - qu'est-ce que le docteur doit décider?

Les docteurs peuvent faire des statistiques plus ou moins fiables sur le nombre des consommateurs quottidiens du tabac, du vin, du foie gras (probablement nombre des consommateurs veurlent pas s'identifier comme tels devant le docteur, et les modérés réussissent à cacher leurs habitudes, les immodérés qui exhalent l'odeur d'alcool, qui ont des doigts marrons ou ils tiennet les clopes, ou qui ont beaucoup de surpoids, réussissent souvent de cacher au moins l'extendu de leurs habitudes risqués: ce que fausse biensur le calcul de risque en repartissant les maladies constatés sur seulement la consommation constaté par les docteurs) et puis les taux de cancer des poumons, de la gorge, des intestins, voire de cirrhose et de crises cardaiques. Ainsi ils peuvent (avec le proviso mentionné) calculer le risque exacte pour un homme qui chaque jour fume dix gauloises sans filtre, boit une bouteille du vin blanc doux distribuée entre les repas de midi et soir, et utilise tartines de foie gras ou rillettes sur pain blanc pour chaque hors-d'oeuvre, à l'exclusion des soupes et des potages.

Mais est-ce que ça vaut le risque, vivre comme ça, ou pas? Cela n'est pas une question d'ordre purement médical, mais plutôt d'ordre moral ou mental. Il y a aussi des cas ou une morte beaucoup avant les issus de ces risques et probable ou presque certaine: tel militaire en plein guerre, tel condamné à mort, tel victime de gangrène irrémédiable (si l'on peut vraiment constater qu'elle est allé trop loin pour sauver le patient) diminue considerablement la rélévance purement médicale du risque. Alors elle devient même médicalement inconsidérable: mais hors ces cas, la question est morale, et pas purement médicale.

Est-ce que l'attitude que "ouï, le plaisir vaut le risque" (hors les cas ou le risque est plutôt de mourir bientôt) doit-elle être corrigé, et avec quels arguments, avec conseils ou même contraintes? Cela non plus n'est pas une question médicale, mais morale, philosophique, réligieuse ou au pire idéologique.

Je souhaite, d'abord, que les docteurs demeurent docteurs et deviennet pas magistrats pour la plupart des patients: ensuite qu'ils finissent de jouer les magistrats ou tuteurs ou encourager d'autres à le faire en nom des considérations médicaux vis-à-vis les demunis, que ce soit de logement ou de liberté légitime.

/HGL

Voir aussi: "C'est trop facile. Il faut serrer ..."

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